Communauté "La Poudrière"

Sur notre blog... Quelques nouvelles ou événements.

We have a dream

29/12/2020

We have a dream

Avec notre rêve pour 2021, voici quelques nouvelles

Chers amis, amies,

 

Nous reprenons notre plume, trop longtemps laissée de côté, pour vous raconter ce que nous vivons depuis tout ce temps. Les années passent, les événements, les départs, les accueils, le quotidien qui fourmille de ces petites choses qui font la vie. Nous voulons vous les partager parce que vous êtes là, autour de nous, avec nous, un soutien, une aide, une belle fidélité.
En janvier, la communauté fêtera ses 63 ans. Nous avions profité du cadre champêtre de Rummen pour célébrer les 60 ans, simplement, mêlant les souvenirs de chacun aux expressions d’amitié et au bonheur d’être ensemble à la campagne. C’est d’ailleurs avec ce même bonheur que nous nous sommes retrouvés, l’année suivante, autour de Sylvette et Maarten pour fêter leur mariage :  un événement qui fut à la hauteur de sa préparation : magnifique ! La nature, les arbres, les jardins, la maison peuvent encore maintenant vous raconter toute la douceur et la joie qui ont été vécues ce jour-là. 
Rummen, une maison qui vit au rythme des saisons. Les jardins regorgent de légumes magnifiques, savourés dans les trois maisons de la communauté. Véronique est l’âme du jardin. C’est une œuvre qui requiert une attention, une vigilance, une délicatesse aussi qui se retrouvent avec évidence dans la saveur des légumes. On y goûte aussi la bonne humeur de Dirk, fils de Marc et Cécile, présent cette année à Rummen et apprécié dans les différentes activités de la maison. Sa joie de vivre résonne pour le moment dans la rue de la Poudrière où il dépose ses valises pour quelque temps. 
La maison de Rummen s’est aussi inscrite comme accueillant pour les woofers, c’est-à-dire des jeunes ou moins jeunes qui, en échange de cinq heures de travail par jour sont logés, nourris et bénéficient aussi d’un apprentissage en maraîchage et verger biologiques. C’est souvent l’occasion de belles rencontres au sein de la maison dont profitent certainement Pierre et Jean qui vivent sur place depuis plusieurs années, apportant leur agréable présence. Ils chouchoutent et font la conversation aux cochons, poules et moutons qui n’en seront que meilleurs dans l’assiette ! Le chalet de Jean attend d’ailleurs un lifting dans les prochaines semaines : Paul envisage de remplacer les parois extérieures en bois.
Cette année, la cueillette des pommes et des poires fut exceptionnelle. Malgré un coup de vent qui a obligé toute une ligne de pommier à gentiment se coucher, la saison a vu valser les cageots du verger au frigo et du frigo aux deux autres maisons pour la vente et la valorisation de ces délicieux fruits. Les jus et les sirops sont aussi sur les étals à Péruwelz et à Bruxelles et connaissent un succès de plus en plus grand. Cette cueillette est bien sûr le résultat d’un travail collectif. A côté de la participation de Bruxelles et de Péruwelz, la maison de Rummen organise des week-ends « amis-amis » qui sont l’occasion de passer une journée ou deux sur place afin d’aider aux travaux de la maison et en même temps profiter de la nature et des rencontres. Toutes ces aides extérieures permettent de faire avancer les différents travaux : plantation des poireaux, préparation des jardins, de la serre, pressage du jus de pomme, confitures, bois, récoltes, …
Récemment, le toit de l’atelier jouxtant la maison s’est effondré. Paul est en pourparlers avec Raphaël, le propriétaire, qui souhaite renouveler cette toiture ainsi que celle de la grange qui se trouve dans la partie voisine. Peut-être un espoir d’extension si le voisin accepte de céder cette partie !
Et d’autres petites nouvelles qui se baladent entre les arbres : Johan et sa famille restaurent sur place une roulotte qui certainement leur donnera l’envie de partir à l’aventure ; une éolienne de 18 mètres construite par le grand-père de Maarten attend patiemment qu’on s’occupe d’elle.  Elle arrivera couchée de tout son long et peut-être un jour se relèvera-t-elle, le regard fier, le nez au vent ! René regarde paisiblement tout cela de loin, sous sa casquette …

 


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Et à la rue de la Poudrière … ? Qu’est-ce qui peut bien sortir de bon de cette petite rue assez méconnue, pas vraiment sur le chemin des usagers : il faut à priori avoir une raison pour s’y aventurer ! Eh bien, je vais vous en donner des raisons et des bonnes !
Depuis plus de deux ans, nous ouvrons nos espaces à d’autres formes de vie alternative. Lors de nos réunions, nous réfléchissions régulièrement à l’importance de faire bénéficier à d’autres projets que le nôtre les possibilités que nous offrent nos bâtiments. Bref, une rencontre entre un besoin d’une part et une ouverture d’autre part. Ce moment favorable (le kairos), est arrivé voici maintenant deux ans :  un collectif « la compilothèque » cherchait un lieu où atterrir. Déjà présents sur notre site de Vilvorde depuis plusieurs années, une partie de ce collectif occupait une maison rue de la Senne ; la ville reprenant ses bâtiments, il était urgent de trouver une autre solution. Nous leur avons proposé d’occuper le 3ème et une partie du 2ème étage du n°64, rue de la Poudrière. Depuis, de gros travaux d’aménagement y sont menés : rénovation, isolation, installation de … velux pour y apporter un peu de lumière. Ce collectif est constitué essentiellement de personnes ayant une activité artisanale et artistique : céramique, typographie, travail du bois, du métal, arts plastiques, … plusieurs ateliers sont prévus et certains sont déjà en activité. D’autres logements de la rue sont également occupés par la compilothèque. 
Une autre alternative est entrée dans la rue, suite à la fermeture de notre grand espace de vente de meubles, au rez-de-chaussée du n°64. Il s’agit d’une épicerie biologique, durable et locale, privilégiant la nécessité de faire soi-même les choses dont nous avons besoin. Gérée par trois femmes, Aline (fille de Vanni et Maud), Alicia et Tessa, cette épicerie – Molleke - est actuellement ouverte 3 jours/semaine et continue tout doucement à s’élaborer et s’étoffer.
Une dynamique est en train de naître dans la rue de la Poudrière. Un pôle d’initiatives, de personnes, d’énergies, de synergies qui se nourrissent des mêmes valeurs humaines en les vivant chacun à sa manière. Certainement le temps nous montrera un art de vivre ensemble dans cette rue, avec des ponts entre les projets, des échanges constructifs, de nouvelles idées à réaliser ensemble …
Du côté de la communauté de la Poudrière (recentrons-nous, un peu), nous continuons avec un petit groupe à assurer ce quotidien sans cesse bouillonnant, toujours inattendu, surprenant. Les sollicitations ne manquent pas dans cette période incertaine. 
Roland nous a quittés récemment, après tant d’années de présence et de chemin commun. Il laisse un grand vide dans les trois maisons, ayant vécu et travaillé dans chacune d’elles. Il avait pour les enfants une tendresse particulière que ceux-ci lui rendaient largement. Un petit garçon, Jacob, a eu le temps de le faire rire avant son départ. Ses parents, Jackson et Boutaina, vivent depuis quelques années dans la maison. La Poudrière a été témoin de leur union voici deux ans. Jacob a 9 mois maintenant et égaie nos journées !  Jackson s’occupe de la partie électro du magasin. Il met en valeur notamment les ordinateurs que Sébastien lui prépare ainsi qu’un vrai plat de spaghettis de fils électriques, rallonges, fiches, et aucune n’a de secret pour lui ; autant le matériel de cuisine que le multi média, rien ne résiste à Jackson ! Jacob vient de temps en temps s’y coller pour libérer un peu Boutaina qui apprend un métier essentiel : être maman !
Jessica vient de s’envoler pour l’Irlande. Après 10 ans de vie dans la communauté, elle commence une nouvelle expérience de travail là-bas. Le secteur livre est bien orphelin, elle prenait soin de proposer une lecture intéressante à notre clientèle. Gérard a perdu sa cantatrice des vaisselles.
 Vanni et Maud se préparent tout doucement à rejoindre un appartement qui est en cours de préparation sur le lieu de travail du 33, rue d’Aa. Tous les jours, Vanni, Sébastien, Francisco et Emil s’y rendent pour gérer le secteur Récupel, les métaux, les arrivages réguliers des stocks du Parlement européen, les dépôts spontanés. Vanni reste le garant de la communauté tout en déléguant certaines responsabilités à Paul, Yves ou Éric entre autres.  Il reste très présent et à l’écoute des nombreuses demandes extérieures adressées à la Poudrière. Maud se partage entre la comptabilité (qu’elle assure avec Alain et Maud D.), les différentes publications émanant de la communauté, la boulangerie le vendredi avec Francisco, une présence à Molleke ainsi qu’une diversité grandissante de petits dossiers surgissant au gré des jours de la semaine !
Maud D. a quitté récemment la communauté afin de vivre une certaine indépendance à l’extérieur. Elle revient régulièrement donner de son temps dans les trois maisons. Monique, sa maman vient deux fois par semaine nous apporter une aide précieuse dans les activités ainsi qu’Alain, son papa, salarié par la communauté.
Dominique reste stoïque dans tout ce tourbillon de vie, présent à tout ce qui se passe même si souvent cela lui échappe ! Il continue plusieurs fois par semaine à faire des exercices avec un kiné et ne rate aucune partie de scrabble avec sa sœur Marie-Paule, qui vient nous aider régulièrement. On compte toutefois sur lui pour continuer à nous prodiguer les petits trucs et astuces dans chaque secteur et il devient pro du nettoyage des Fischer Price !
Éric partage sa responsabilité de la maison avec la multitude de sollicitations qui affluent au quotidien vers lui. Garder son calme est un objectif. Il joue le trait d’union entre la compilothèque, Molleke et la Poudrière. Les travaux sur place ont demandé une grande présence de sa part. Dernière œuvre en date : la pose d’une nouvelle porte, fabriquée par Paul et Guillaume, pour remplacer le volet métallique du 64, rue de la Poudrière. Il peut compter sur Sylvie pour le faire rigoler de temps en temps et faire redescendre la pression. Sylvie ne s’ennuie pas, jamais. Quand on aime tout ce qu’on fait, ce serait difficile ! La boutique et tous ses recoins est son terrain de jeu. La vente est l’occasion pour elle de rencontres multiples : créer des liens, des synergies avec les clients devenus des amis. Elle y engage d’ailleurs de temps en temps ses deux filles, Nathalie et Eve-Marie. Nathalie, 21 ans, en troisième année assistant social, assure son stage au sein des urgences et soins intensifs des Cliniques St Luc. En pleine crise du Covid, c’est une période faste pour emmagasiner une foule d’informations et d’expériences pour sa vie professionnelle future. Sa sœur Eve-Marie, 19 ans, n’est pas en reste. Après une année de service citoyen assez mouvementée, elle a assuré deux mois dans un centre géré par Médecins du Monde au service d’une centaine de personnes sans domicile. Ce fut sans aucun doute une étape dans sa recherche d’avenir ; forte de cette expérience en tout point exceptionnelle, elle a décidé de rentrer dans la même école que sa sœur.
Emil nous a rejoints récemment. Il est entré directement dans la famille de la Poudrière. Dominique est son professeur de français, épaulé par Gabriel qui nous est arrivé en janvier dernier. Gabriel a déposé son sac, sa tente, ses espoirs chez nous ; habitué de la route et des aventures, il a repris un peu son souffle parmi nous et semble prendre un certain plaisir à restaurer des petits meubles sous l’œil attentif de Gérard qui l’initie à ce travail artistique. Il a rencontré Naïda, déjà présente dans la communauté depuis 6 mois, venue du Panama. Elle vient marcher sur les traces de son père André Dumoulin présent dans la communauté dans les années 80. Elle suit à mi-temps des cours de français (qu’elle parle déjà très bien) et elle offre ses compétences en informatique et multimédia bien nécessaires à l’heure actuelle ! Avec Gabriel, ils projettent de vivre bientôt une expérience à l’extérieur. On leur souhaite déjà bonne route !
Francisco est avec nous depuis un an, énergique et souriant, il seconde admirablement Vanni et met les mains dans la farine le vendredi avec Maud. 
Si vous désirez réparer ou acheter un vélo, ne cherchez plus ! Nous avons obtenu une reconnaissance de la Fondation Roi Baudouin pour un atelier vente et réparation de vélos dont le maître d’œuvre est Marc-Antoine. Véritable boule d’énergie, Ange (pour les intimes) est devenu la mascotte de tout un public de cyclistes avertis ou non. Il n’hésite pas à représenter la Poudrière lors d’événements comme le Bike Repair Day ou la journée sans voiture, par exemple. 
Sébastien nous vient de la maison de Péruwelz et a entamé une formation pour devenir plafonneur ; nous l’accompagnons dans ce défi surtout que le virus n’arrange rien : suivre des cours par Visio conférence, ce n’est pas sa tasse de thé !
La maison de Bruxelles est finalement comme un petit village avec ses habitants, son art de vivre, sa dynamique, ses particularités. Certains viennent déposer leurs valises pour un temps, d’autres viennent nous rendre visite et nous aider, chacun trouvant la place qui lui convient. Gérard habite dans la rue de la Poudrière et vient régulièrement partager sa bonne humeur, son savoir-faire de menuisier-ébéniste et ses petits mots d’amitié semés ici et là. Maryline habite aussi dans un appartement de la rue et vient 4 jours par semaine dans les activités du village : le lundi, c’est la caverne d’Ali Baba avec le tri du kot, puis la préparation du secteur mercerie et la cuisine le jeudi ! Janna, Concetta, François D., Colette, Justin, José sont des habitués de notre communauté, offrant leur temps, leur amitié, leur fidélité. Aurore, fille de Yves et Sangeeta, est salariée depuis quelques mois chez nous et est devenue spécialiste de l’accueil au téléphone, répondant également aux multiples sollicitations qui entrent dans la cour. Malheureusement, son contrat se termine en cette fin d’année. On regrettera sa joie de vivre et sa rapidité d’intervention ! Maryse a déposé aussi ses valises chez nous après plusieurs missions pour Médecins sans Frontière. Elle reprend pied avant de nouvelles aventures ?
Depuis plusieurs années, nous sommes repris dans les missions du Service Citoyen. Nathalie avait ouvert la voie voici 4 ans et avait proposé à celui-ci de compter la poudrière parmi ses associations partenaires. Depuis, nous avons chaque année des jeunes qui prestent 6 mois au sein de la communauté. Romain a commencé ce mois d’octobre. Nous sommes heureux de faire un bout de chemin ensemble … c’est l’occasion d’aller à la rencontre d’une expérience inédite, allant probablement à contre-sens de l’individualisme ambiant. Adrien, lui, est un étudiant en 3ème année assistant social et vient prester un stage de plusieurs mois aussi chez nous. Ce type d’accueil est important pour la communauté : former des jeunes qui commencent leur parcours de vie …
Nous avons vécu tout comme vous ces deux vagues du Covid et les deux confinements qui s’ensuivent …Pour la communauté, ce fut un moment particulier ayant des conséquences directes sur le rythme du travail et surtout les ventes. Peut-être ce fut l’occasion de se recentrer sur notre vivre ensemble en maison. Malheureusement, les grandes rencontres prévues cette année ont été toutes annulées. En premier lieu, la fête de Pâques qui d’habitude est l’occasion de réunir les trois maisons, ensuite les deux grands week-ends de retrouvailles à Rummen sous tente, les réunions spaghettis, les réunions du mois, la rencontre de Velaines et pour finir, les fêtes de fin d’année et la pièce de théâtre qui représentent des moments-clé dans notre vie communautaire. Ce n’est pas sans risque pour notre vivre ensemble. La communauté, c’est l’expression des trois maisons. Elle vit et se manifeste à travers chacune d’elle. Chaque maison est importante mais ne peut vivre que parce que les autres se portent bien. C’est comme le corps humain : chaque membre vit en connexion avec les autres. Nous veillons à cela. Régulièrement, nous essayons de nous tenir au courant de la réalité de chaque maison, de ce qu’elle vit, par des photos, des appels en visuel, des petites attentions de l’un et l’autre. Les liens existent mais il est impératif de les soigner. Nous espérons rattraper le temps perdu l’année prochaine …nous serrer de nouveau dans les bras, nous tenir plus près, dans la tendresse des retrouvailles.


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A Péruwelz : Comme chaque année, nous avions mis en place différentes rencontres pour l’année 2020.  La grande majorité de ces moments communautaires ont dû être annulés: le camp des enfants, les rencontres avec les autres maisons et les fêtes communautaires, le souper des bénévoles, notre marché fermier annuel, les journées « permaculture » et la rencontre intercommunautaire que nous avions aussi préparée avec l’espoir de nous retrouver en octobre pour partager sur cette vie communautaire en confinement.
Le premier confinement nous impose de fermer les magasins.  On réorganise nos activités entre rénovation, réaménagement et un investissement de plusieurs dans le potager, ce qui nous vaudra d’ailleurs une magnifique récolte de légumes en tout genre : carottes, navets, choux divers, topinambours, haricots divers, lentilles, cyclanthères, tétragone, tomates de toutes couleurs et formes, des melons et poivrons et même une production de champignons et chicons.  Seules les cacahuètes ne sont jamais sorties de terre. 
Ruben arrive à nous rejoindre, perpétuant ainsi de nombreux liens que nous avons échangés entre la communauté et le Mexique depuis de nombreuses années.
Avec la fin du confinement, c’est la réouverture des magasins mais avec son lot d’adaptations aux règles sanitaires et sans compter sur les clients issus du Nord de la France car ceux-ci sont toujours en confinement.  Puis l’été a permis à quelques-uns de faire une pause dans les régions proches : Courtrai, Comines, La Normandie.
Début août nous arrivons à maintenir le camp de Jeunes – Emmaüs - que nous réalisons chaque année avec des jeunes qui étudient en Europe mais qui proviennent de plusieurs continents.  Cette fois, nous sont arrivés des jeunes du Mexique, de Chine, du Pakistan, de Turquie, et de France. Une rencontre multiculturelle très enrichissante qui s’est clôturée par l’anniversaire des 99 ans de ROBERT.
Nicolò, jeune volontaire italien, rejoint la maison avec enthousiasme, succédant à Malte, un jeune volontaire allemand, venu effectuer son année diaconale.
Le confinement de cet automne, par contre nous a laissé l’opportunité de pouvoir maintenir le secteur des livres et de la mercerie ainsi que la vente des pommes, des poires et du jus que nous organisons dès lors tous les après-midi sur le parking du magasin. Nous avons également mis en place une vente en ligne à l’instar d’Amazone, « j’achète dans ma zone ».
La maison connaîtra aussi à cette période une contagion au Covid-19, ce qui nous imposera une réorganisation des espaces et des repas communautaires.
L’année a donc été l’occasion de développer une cohésion communautaire très forte où l’amitié a pu faire face à l’absence de nos familles et amis, de nos engagements et nos rencontres en dehors de la communauté. Un privilège certainement que nous partageons déjà avec ceux qui arrivent aujourd’hui dans la communauté après plusieurs mois d’isolement.

 

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